Le premier droit de la personne malade est de pouvoir accéder aux soins rendus nécessaires par son état et ce, quelle que soit sa situation financière. Deux principes découlent de ce droit :
L’accès aux soins se doit d’être égal pour tous, libre et de qualité.
«Aucune personne ne peut faire l'objet de discriminations dans l'accès à la prévention ou aux soins».
Le service public de santé se doit donc d’accueillir toutes les personnes malades quels que soient leur origine, leur sexe, leur situation sociale.
L’accès aux soins doit être garanti quelles que soient les ressources financières des personnes malades.
Afin de garantir cet égal accès aux soins sans considération de ressources, les pouvoirs publics ont mis en place en 1999 la Couverture Maladie Universelle (CMU).
Cette couverture permet la prise en charge notamment de :
Toute personne est libre de choisir l'établissement de santé qui la prendra en charge, dans la limite des possibilités de chaque établissement. Le service public hospitalier est accessible à tous, en particulier aux personnes démunies et, en cas d'urgence, aux personnes sans couverture sociale. Il est adapté aux personnes handicapées.
Les établissements assurant le service public hospitalier doivent être en mesure d'accueillir les patients de jour et de nuit, éventuellement en urgence, ou d'assurer leur admission dans un autre établissement de santé.
« Les établissements de santé garantissent la qualité de l’accueil, des traitements et des soins. Ils sont attentifs au soulagement de la douleur et mettent tout en œuvre pour assurer à chacun une vie digne, avec une attention particulière à la fin de vie. »
Ainsi, la qualité des soins regroupe :
Toute personne doit pouvoir accéder à des soins de qualité, des soins consciencieux et conformes aux données acquises de la science.
La qualité et la sécurité des soins regroupent l’ensemble des démarches et des actions qui permettent d’assurer le niveau de qualité attendu au regard des bonnes pratiques, reconnues compte tenu des connaissances, et la gestion des risques pour éviter les conséquences non voulues au cours de la prise en charge du patient (iatrogénie, accidents médicaux, infections nosocomiales).
Ainsi, l’établissement procède à l’évaluation de la qualité des soins.
Pour cela, il utilise un ensemble de méthodes pour aider les professionnels à faire des choix à tous les niveaux des soins qu’il s’agisse de la décision diagnostique ou thérapeutique au lit du malade, ou à la décision d’investissement dans le cadre d’une politique hospitalière.
La qualité des soins se traduit par :
Protection des données
Le centre hospitalier de Bigorre, dans le cadre de ses missions de services publics, collecte et traite des données d’ordre administratives, sociales et médicales.
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